wish you the worst • CEDRINO LE MAGNIFIQUE

Les yeux fermés, je n'entendais que le bruit des vagues, oubliant les gens parler, rire, crier. Allongé sur le sable fin, je sentais la chaleur du soleil réchauffer mon corps tout entier. Je portais sur moi, un maillot de bain rose à points noirs, acheté ici à mon arrivé. En aprtant de chez moi, j'avais piqué assez d'argent à mes parents pour profiter de mes vacances sans soucis. Je portais sur mes yeux des grosses lunettes noires, dit mouche, pour me proteger des rayons du soleil. C'était paisible comme sensation, je n'avais auparavant jamais connu ça. Je souriais quand j'entendis des sifflements près de mon oreille droite. J'ouvris faiblement les yeux, appercevant devant moi deux abrutis se croyant interessants. Je m'assis, croisant les jambes. J'ôtais mes lunettes de soleil, et je les fixais en souriant. Pour la première fois dans ma vie, je n'avais pas envie d'être méchante, ces pauvres gas me faisaient de la peine. Il y avait un roux aux cheveux mis-long, blanc et squeletique. Le deuxième avait un bon ventre, des épaules carrés et un gros nez. Je ne peux donc pas trouver mieux ? Une glace ca te dit ? Etonnée, je lui riais au nez. On ne change pas les bonnes habitudes. Reviens quand t'auras une meilleure offre mon petit. Répondis en me réinstallant comme avant d'être gêné, sans même regarder celui qui avait essayé de me draguer. Je préférais d'avantage me faire draguer par un homme, un vrai. Avec un belle caisse si possible.

Il faisait déjà nuit sur la ville de Californie, je n'avais pas vu passer le temps. J'étais dans ma chambre, à écouter la radio, de bons titres des Beatles et Rolling Stone. J'avais toujours préféré le rock, surtout chez moi, à Liverpool où les groupes se créés énormement. Seule dans la chambre de ma villa, je regardais par la fenêtre appercevant le mont. Je pris alors un gilet de laine pour ne pas avoir froid, pris mes tongues et partis en direction du Mont Soledad. Je n'avais pas froid aux yeux, il était possible que des gens pas nets trainent là-bas, mais peu importe, j'avais juste besoin d'être seule, tranquille. Je montais doucement, observant le paysage. J'étais fan de rock'n'roll et de nature. Il était pour moi important de la proteger, et avec tout ceux qu'ils construisent, dans cinquante ans y'aura plus rien. Je n'avais rencontré encore personne, pour ma plus grande joie. J'avais décidé de faire une pause avant de monter encore plus haut. Six minutes, pour être exact, j'étais prête à remonter. Un peu de vent soufflait, mes cheveux virevoltant. J'apperçus de loin un homme, assez jeune. C'est tout ce que je pouvais dire, étant donné qu'il faisait nuit. J'avais à ce moment un peu peur que ce soit un malade. Je marchais doucement, en esperant qu'il ne me repère pas.

Il était 17 heures et les bananes, on était l'après-midi, Cédrino trainer dans un supermarché de La Jolla pour faire ses courses de quoi trouver à manger et quelques petits extras. Il s'était levé il y a de quoi, une heure ? Il avait fait la fête toute la nuit et ce depuis qu'il était arrivé il y a trois jours de ça. Le jeune homme en trois jours avaient connu beaucoup de monde dont généralement des filles, des rousses, des brunes et des blondes, des filles en tout genres, plus ou moins sexy, avec chacune d'entre elles leurs petits atouts.
Cependant, il fallait bien que Mr. Dixon-Jacks, récupère, car à force de collectionner les nuits blanches à la fin de la semaine il sera déjà mort alors qu'il faut qu'il tienne trois mois, le temps des vacances. C'est pour ça qu'il se levait de plus en plus tard.
Une heure après être entrée dans le magasin il en sortie le charriot remplie d'affaires dont surtout de la nourriture.
Il rentrait ensuite chez lui, dans sa superbe villa, il était à 10 minutes, de la ville Del Sol. Une fois rentré le Don Juan, ranger les affaires dans les placards, il était 18 heures 35. Ce soir, aucune soirée n'était prévue, il se demandait donc bien ce qu'il pourrait faire pour se divertir. Et c'est là qu'il eu l'idée d'aller visiter le Mont Soledad, en effet, une idée surgit de son esprit. En étant bon Don Juan, Cédrino devait se montrer à la pointe du romantisme dans le genre gentleman et tout et quoi de plus romantique que d'être assis sur un capot de voiture à la tomber de la nuit sur un Mont avec une partenaire ? C'est le tip-top du romantisme nian-nian, que toutes les filles adorent. Le jeune homme voulait être sûr d'une chose c'est que la vue sur la montagne était magnifique et que ceci était accessible en voiture, car devoir se taper 30 bornes à pied pour arriver en haut, c'est très loin du genre romantique. C'est donc pour ça que ce soir, il décidait de faire l'éclaireur en allant voir si tout était parfait.
Après avoir mangé, un plat de pâtes avec du jambon, il parti avec sa décapotable, une Renault Caravelle, il mit un peu de musique du Rock'n Roll.
40 minutes plus tard il était arrivé en haut du Mont Soledad, il fessait frais et qu'est-ce que ça pouvait être paisible, vraiment le coin romantique par excellence. On pouvait admirer en bas de la montagne, la ville éclairait de mille feux et le ciel noir et ses étoiles brillantes d'une lumière pure. Avec un fond de musique c'était le Paradis sur Terre. Il était là assit sur le capot de sa bagnole quand, il entendit des bruits de pas, qui pouvait donc bien oser le déranger dans un moment de réflexion ? Il se retourna et vu une jeune fille juste derrière à 2 - 3 mètres. Il lança à l'attention, de l'inconnue :

- BONSOIR !